Consécutivement à sa mise au point du 12 septembre 2018, le
Gouvernement de la République Démocratique du Congo tient à informer
l’opinion tant nationale qu’internationale que plusieurs indices
concordants, en sa possession, indiquent que certains gouvernement
exerceraient des pressions sur les juges de la Cour Pénale
Internationale visant la politique intérieure, voire les questions
sous examen par devant cette Institution en relation avec la situation
en République Démocratique du Congo, susceptibles d’avoir une
incidence sur le processus électoral en cours dans ce pays.
La propension à instrumentaliser cette juridiction internationale à
des fins inavouées risque de saper irrémédiablement sa crédibilité,
alors qu’elle est censée être garantie de la lutte noble contre les
crimes internationaux qui révoltent la conscience universelle. Ce
constat est corroboré par les doutes sérieux émis par plusieurs
gouvernements, quant à l’efficacité de la Cour. Au demeurant, certains
n’hésitent plus à en dénoncer le Statut.
En conséquence, la République Démocratique du Congo qui, en son
temps, avait contribué significativement à l’élaboration du Statut de
Rome portant création de la Cour Pénale Internationale et, ensuite, à
la mise en oeuvre de celui-ci, n’exclut point, en désespoir de cause,
de s’en retirer.
Kinshasa, le 15 septembre 2018
ils sont déjà fin mandat, et ils attends être jugé par la cpi car ils ont des problemes judiciaires, comme par exemple thambwe mwamba et beaucoup d’autre, ils veux mainent retirer la rdc à la cpi, nous disons non, non,non.
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