C’est le vendredi 16 août 2013 en début d’après-midi que l’Administrateur Délégué de la Bralima, Alexey Chernyiaev a visité la Fikin. Il était 14 heures passées de quelques minutes quand le numéro un de la Bralima avec à ses côtés Ben Afrifa, le directeur de marketing et plusieurs autres cadres de l’entreprise précitée, est arrivé sur les lieux. Tout ce beau monde est entré immédiatement au Bikapi Oasis, un bar situé à la Fikin, et qui vend uniquement des produits de la Bralima. Bennie Nzembele, la maîtresse des céans , visiblement honorée par cette brève visite, a échangé rapidement des civilités avec ses hôtes .
Prenant congé de Nzembele, Alexey Chernyiaev, Ben Afrifa…., se sont dirigés vers les trois stands de la Bralima, plus précisément de la Fondation . Avant d’y arriver, ils ont été gentiment interpellés par des jeunes-gens qui vendent des bibelots à la Fikin ces jours ci et qui ne cessaient de dire à leur intention : « Bralima, batika yo Bralima oza numéro un (ndlr, qu’on te laisse tranquille… tu es le numéro un).
En sa qualité de coordonnateur des activités de la Fondation à la Fikin, Sylvain Malanda a accueilli ses « hôtes » et leur a servi naturellement de guide
Chaque stand, ne cessaient de répéter gentiment les charmantes hôtesses de la Bralima à leurs invités , a un caractère particulier.
Au premier stand, par exemple, on lit d’un trait l’historique de la Bralima, à commencer par son implantation à Kinshasa en 1923, à l’époque Léopoldville, et son extension progressive vers d’autres coins du pays, ont-elles fait remarquer.
A travers les photos placardées aux murs, on voit même le nombre d’employés pour chaque antenne provinciale de la Bralima.
Les hôtesses ont expliqué ensuite à leurs hôtes la gamme des boissons produites par Bralima. Ou encore l’implication de la Fondation Bralima dans les domaines de la santé et de l’éducation , à travers les activités sur le don de sang, la prévention et la lutte contre le sida, la réhabilitation des écoles… Les « ouailles » de Malanda ont également montré à l’intention des visiteurs les tee shirts, képis, casquettes made in Bralima, et présents dans un des stands.
Le Projet riz a été l’un des pôles d’attraction de cette visite. Au stand érigé pour la circonstance, les « visiteurs » ont suivi des explications sur la finalité de ce projet qui donne l’opportunité aux brasseurs de l’avenue du Drapeau de recourir à la production locale et de relancer par la même occasion l’économie congolaise. Entre temps, les planteurs congolais trouvent aussi leur compte. Dans ce stand, il y a même un échantillon de sacs et sachets de riz à la portée de potentiels acheteurs.
Le programme en sept points clés et dénommé Brasseur d’un avenir meilleur « BABF » mis sur pied par la Bralima pour une production plus écologique et plus verte, n’a laissé personne indifférent.
Ce programme, lit-on, s’articule autour de l’énergie, l’eau, l’agriculture, la consommation, l’impact dans la société, la chaîne d’approvisionnement.
Tout au long de cette visite guidée, le numéro un de la Bralima et sa suite ont eu droit à un bain de foule de la part des dames et messieurs qui vendent des denrées à la Fikin, lesquels ne voulaient pas les voir quitter les lieux de si tôt.
En raison probablement de son emploi du temps très chargé, le numéro un de la Bralima a quitté à regret ses hôtes quelques minutes plus tard.
Les médias ont ensuite demandé à Sylvain Malanda de leur expliquer la raison principale de la descente de l’AD Alexey Cherniaev sur le terrain.
A l’en croire, le numéro un de la Bralima est venu personnellement se rendre compte du travail réalisé par ses agents et cadres à la Fikin, mais aussi confirmer la présence de la Bralima à la foire. «Il était ravi de la manière dont nous présentons les différentes facettes de la Fondation Bralima».
«Pour cette édition , on a voulu insister davantage sur ce qui est fait par la Fondation Bralima», a-t-il indiqué.
Et d’affirmer «qu’en faisant la ronde de nos stands, le public n’en revient pas. Ceci dans la mesure où il se rend compte des interventions de la Fondation Bralima dans les différents secteurs de la vie.
Comme il fallait joindre l’utile à l’agréable, les agents et cadres… qui sont restés sur les lieux se sont attablés dans le box réservé à la dégustation se régalant des boissons et mets préparés à leur intention.
Jean- Pierre Nkutu